Depuis septembre 1938, 8 soldats di 1Régiment Cycliste Frontière de Henri-Chapelle et le 2 du 23ème bataillon du Génie, effectuent des travaux de minage du pont, en prévision d'une invatsion nazie de plus en plus pérvisble malgré la neutralité de la Belgique.

On a prévu de faire sauter 3 arcades; au total 153 kilos de TNT( équivalent à 1.500 kilos de dynamite) sont enfouis dans la maçonerie. De plus , une charge de 17 kilos de TNT est placée dans chaque arcade. la mise a feu est prévue au pied du pillier N° 8 à 1mètre 30 de hauteur. pour la protection des soldats, on a construit en desous de la 9ème arcade un petit abrit de plus ou moins 12 mètres Carrés, avec des murs de briques et un toit réalisé avec des piquets de télégraphe placé l'un contre l'autre et reliéspar du flis de fer. portes et fenêtre ne dont pas encore installlés.

le 10 mai 1940, vers 4h25', les permiers avion allemands envahissent la Belgique.

les 2 sentinelles qui monte la garde sur le pont on reçu pour consigne de rejoindre les autres soldats. Vers 4H35', le sous lieutenant Pirotte reçoit l'ordre par téléphone de débuter les préparetifs pour la ndestruction du pont. cet ordre est donné par le lieutenant dde liaison du poste de Welkenraedt. Il  prend une boîte contenant des mèches lentes, des détonateurs, des certhouches de TNT.., etc. et se rend sous le pont. les préparatifs commencent vers 4h45'. de retour vers 4H50', le sous lieutenant Pirotte reçoit un coups de téléphone de Welkenraedt, ouvre une enveloppe, sort un petit papier et donne le mot <Alphose>. Il donne l'ordre de détruire le pont

L'officier Pirotte, son ordonnance Albert Leclerq et le caporal Tavernier, se dirigent vers le pont, les autres soldats se rendent à l'abri. sur le trajet, il entendent le bruit d'une sirène , un avion <Stuka> se met à tirer en direction du pont. C'est le baptême du feu. Les soldats prennent place dans l'abri et sont rejoint par le sous-lieutenant et le caporal lesquels on allumé la méche lente.

Il est près de 5heurs lorsque retentit la première détonnation, quelque fraction de seconde plus tard, la suivante, et puis !!!

Jamais les pionniers n'avaient pensée, vu la complexité de l'édifice et l'assemblage de la maçonnerie, que tout le milieu du pont s'enfondrerait.

Après les détonnation, l'abri est complètement détuit. L'enfondrement des 10 premières arcades enseveli les soldat sous les décombre. Aprés 6 heures de travail intense effectueé par les fermier et les pompiers de Hergenrath, et un soldat est miraculeusement  retiré vivant des décombres.

Il s'agit de Marcel Renard de Liège, grièvemenent blèssé aus pieds et aux jambes. Le soldat Oscar Chavée s'était porté volontaire au moment de l'attaque de l'avion pour prevenir le poste de déraillement pour le train en gare de Hergenradt, de l'explosion imminente du pont.

Après l'explosion, de retour à l'abri enseveli, il répond encore aux cris de détresse du soldat Renard et l'informe qu'il part chercher du secours. plus tard, il est retrouvé dans la plain, du côté de Lontzen, en état de choc nerveux criant < Ils sont tous morts>. lLes deux seuls rescapés furent conduits à l'hopital St Nicolas à Eupen pour y être soignés

Les premiers militaire décédés de Cycliste Frontière de Henri-Chapelle sont donc le Welkenraedtois Joseph Niessen et ses amis ains que nles autres camarades: Robert Baert de Moucron

                          Séraphin Bourge de Laeken

                          Jaques Demoortel d'Anderlecht

                          Théo Lannoy de Han sur / Lesse

                          Albert Leclercq de Xhendelesse " l'ordonnance"

                          Joseph Pirotte de Rocourt  "Sous-lieutenant"

                          Le Capora Tavernier d'Ougrée

Un bilan lourd dès les première minute de la guerre